Qui est Lucie, une nouvelle recrue dans l’Agence ? Non, c’est le nom d’une démarche qui labellise les organisations engagées et responsables. Un projet d’envergure qui mobilise les équipes d’Inoxia depuis avril 2019.
Lucie est le prénom de la mère de l'humanité "Lucy", découverte par Yves Coppens. Mais Lucie, lux en latin, indique aussi la lumière. Clin d’œil sur l'importance de préserver les générations futures, promotion d’un engagement éclairé des entreprises en faveur du développement durable... deux bonnes raisons pour choisir Lucie comme nom de baptême d’une démarche RSE.
Créé en 2007, le label Lucie rassemble des acteurs économiques profondément investis dans une démarche de progrès. Celle-ci s’appuie sur la norme ISO 26 000, un référentiel qui fournit des recommandations sur la responsabilité sociétale pour toutes les organisations, à partir de 7 questions centrales formulées par la norme ISO 26 000.
Certifiée Afaq 26 000 en 2011 et 2013, l’Agence a choisi de formaliser son engagement responsable en suivant le parcours conçu par l’organisme Lucie. "En interne, nous mettons déjà en place des actions RSE et nous proposons une communication responsable à nos clients. Mais nous ressentions le besoin de structurer ces bonnes pratiques. C’est ce qui nous a plu avec le label Lucie : la possibilité de devenir des acteurs ayant un impact positif sur les hommes et le territoire, en cernant ce que l’on fait de bien, ce que l’on fait moins bien et de nous améliorer progressivement" précise Marie Bonnard, référente RSE Lucie chez Inoxia.
Avant de lancer Inoxia sur le parcours Lucie, Marie a effectué l’auto-évaluation en ligne puis elle a suivi une formation avec d’autres structures : associations, consultant RSE, organismes consulaires... "Ces rencontres inter-structures étaient très intéressantes car cela montrait comment la RSE pouvait s’appliquer à différents domaines et organisations."
Le label Lucie est donc organisé autour de 7 engagements, eux-mêmes subdivisés en 25 principes d’actions :
En avril, après une information auprès de tous les salariés, Marie a lancé les premiers groupes de travail. "Nous sommes sur une démarche volontaire, portée par la Direction, bien sûr, mais aussi par tous les collaborateurs ayant envie de s’impliquer. Suite aux réunions, les réactions sont très positives et j’ai déjà de nombreuses demandes pour participer à l’auto-évaluation".
Le premier travail est d’identifier les parties prenantes d’Inoxia et les hiérarchiser. Puis il s’agit de déterminer les principes d’actions prioritaires et leur niveau d’importance par rapport au secteur de la communication. Ensuite, pour chaque question et principe, le groupe de travail va dresser un état des lieux des pratiques d’Inoxia : est-ce appliqué, prioritaire, impulsé par le management ? Existe-t-il des procédures, les résultats sont-ils mesurés ?
Ce travail d’autodiagnostic devrait être achevé en septembre.
Faire appel à un organisme externe pour évaluer l’organisation crédibilise la démarche
Le rapport sera ensuite transmis en octobre à un expert indépendant, et lui servira de base pour auditer à son tour. "Faire appel à un organisme externe pour évaluer l’organisation crédibilise la démarche" apprécie Edward d’Etat, Directeur de l’Agence. Lors de cette étape, l'évaluateur réalise plusieurs entretiens avec des parties prenantes internes et externes afin de cerner au mieux les pratiques RSE de la structure.
"En novembre, nous aurons l’ensemble des pistes d’amélioration qui permettront de définir nos engagements de progrès sur 3 ans", précise Marie. "Si ceux-ci sont validés par le comité d’experts Lucie, nous nous engageons à les mettre en œuvre et nous serons alors labellisés Lucie, pour une durée de 3 ans, avec un suivi régulier. Tous les 18 mois, un contrôle est réalisé pour évaluer les progrès et redéfinir les actions prioritaires."
D’ici là, chacun des salariés peut s’appuyer sur la communauté Lucie pour trouver des idées, partager les bonnes pratiques sur les réseaux sociaux, se former grâce à des webinars, participer à des événements et des conférences... Un foisonnement dynamique où chacun a un rôle à jouer pour mettre en place une démarche RSE résolument positive et évolutive.
A suivre dans les mois à venir !
Pour en savoir plus sur la démarche de labellisation LUCIE : www.labellucie.com
Diane est à la fois chef de projet digital mais aussi happiness manager au sein de l'agence. Elle organise et aménage des moments de convivialité entre collègues pour favoriser le lien, le bien-être et l'attention portée aux autres.
Inoxia accompagne les filières agricoles et viticoles pour structurer leurs discours, inciter les producteurs à l'engagement et mettre en valeur les bonnes pratiques.